Charlie Rivera
Depuis : 28/07/2014 Secrets : 54 Rp : Français, limite Franglais Crédits : Shiya Face : Jake Abel ● ○ ● Feuille de personnage Adress: 000/STREET-OAK GR. (ID) Notebook: Disponibilité:
| Sujet: #45 - You are losing yourself in shoes and fake friends Dim 3 Aoû - 16:21 | |
| ✯ Little Sister is a hell T’as des jours où tu n’aurais pas dû te lever, des jours où tout ce qui se passe, se passe mal, et t’empêche de voir le positif, te rendant ainsi totalement irritable. C’était une de ses journées pour Charlie. Il venait de vivre le pire moment de son existence. Lulu venait d’apprendre ses sentiments, ceux qu’il avait cachés pendant des années, ceux qu’il avait refoulés, ou tout au moins, tentés de refouler. Il l’avait regardée, dans les yeux, et il avait été incapable de dire un mot. Il aurait pu faire preuve de courage et avouer, confesser, déclarer et peut-être, dans un miracle, aurait-elle fini par se rendre compte de son amour pour elle. Mais il ne fallait pas qu’il rêve. Il avait fui, et il rentrait chez lui, pas chez lui, mais chez ses parents avec sa famille. Quoi qu’il en dise, il était attaché à celle-ci, et avant de partir de Denver, ils étaient unis. C’était une vraie famille. Maintenant ce n’était plus qu’un semblant de famille, un simulacre. Mais il s’y sentait chez soi, tout de même. Et puis arrivé à la hauteur de la somptueuse maison, alors qu’il arrivait et pensait déjà au refuge qu’il pourrait y trouver. Il aperçut Alexandra sortir de la maison. Il s’arrêta net, et l’observa partir. Même chez lui c’était devenu un champ de mine. Et si ça tombe, c’était elle qui avait envoyé un message « A. nonyme » à Lulu. C’était elle, la responsable de ce cauchemar qu’il vit. Il s’approcha alors, une fois celle-ci hors de vue. Il ne voulait pas lui parler, enfin c’était pas comme si elle lui adressait la parole. Et il entra, et trouva sa sœur, les yeux rivés sur son téléphone comme d’habitude. Il aurait pu être gentil, ne pas l’énerver, ou au moins l’ignorer. Mais il venait de passer la journée la plus pourrie qui puisse exister alors il ne put. « Bon c’est quand que tu te rendras compte que tes fréquentations craignent ? » |
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